En finissant cet ouvrage, j’ai eu une pensée émue et profonde pour une famille. Pour un père, qui n’était pourtant pas le mien, et qui m’a donné autour de mes 14 ans ma première envie de lire. Pour une adolescente qui fut, durant plusieurs années partagées, ma première amante, mon premier espoir et pour laquelle j’ai griffonné mes toutes premières lignes.
 

Avec le recul aujourd’hui, je me rends compte à quel point les rencontres, les rendez-vous et les hasards de la vie nous conduisent et nous mènent. Ce roman en est une illustration. Je le dédie donc à cette famille.
La famille Gambier de mon adolescence.​
 

Que la mienne, nombreuse, soit aussi une source de bonheur et de partage pour celles et ceux qui viendraient à la croiser.

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O Mitakuye Oyasin

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À la mémoire de Jean-Paul.

N’attendez pas d’être heureux pour sourire,
Mais souriez plutôt afin d’être heureux.